jeudi 31 octobre 2013

Le fléau

Bientôt, dans les ménages français, on parlera du manque de travail comme un fléau, à la manière d’une famine au Darfour.



Il est décent de voir aujourd’hui, en France, certains travailleurs ne remplissant suffisamment les fonctions qui leur ont été attribuées ; car ce sont ces fonctions et ces responsabilités, grâce auxquelles ils sont payés et à même de vivre en payant leur loyer, leur électricité, leurs courses… etc. L’analogie dans le milieu des services (agence de nettoyage, sécurité, grandes surfaces, conciergerie… etc.) est d’autant plus consternante lorsque l’on sait que des personnes quasi-passives sont payées par leurs clients qui, de ce fait, ne voient nullement l’avantage de souscrire à un tel service. Or, on entend dire que plus de 10% des actifs sont au chômage, c’est-à-dire, autant de personnes qui cherchent à remplir des fonctions à travers un emploi et, pour une grande partie, avec une motivation bien supérieure aux travailleurs actuels. Ainsi, un certain nombre d’actifs n’ont pas conscience de l’avantage qu’ils ont à travailler et tendent vers le service minimum requis pour percevoir un salaire, à la suite de quoi certains cas se moquent de leur clientèle pour gagner leur argent salement.

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